À Cherbourg des blocs de béton « bioréceptif » ont été immergés dans la grande rade, le 21 septembre 2020. Cette expérimentation menée en Normandie par des biologistes et des ingénieurs de Caen vise à tester la résistance de ce matériau pour les infrastructures subaquatiques et sa capacité à accueillir la faune et la flore marines.
Reportage réalisé pour le journal Ouest-France
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À Cherbourg des blocs de béton « bioréceptif » ont été immergés dans la grande rade, en septembre 2020. Cette expérimentation menée en Normandie par des biologistes et des ingénieurs de Caen vise à tester la résistance de ce matériau pour les infrastructures subaquatiques et sa capacité à accueillir la faune et la flore marines.
En Normandie, on teste les digues du futur pour protéger la faune et la flore marines
21/09/2020
Antoine Soubigou
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À Cherbourg des blocs de béton « bioréceptif » ont été immergés dans la grande rade, en septembre 2020. Cette expérimentation menée en Normandie par des biologistes et des ingénieurs de Caen vise à tester la résistance de ce matériau pour les infrastructures subaquatiques et sa capacité à accueillir la faune et la flore marines.
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À Cherbourg des blocs de béton « bioréceptif » ont été immergés dans la grande rade, en septembre 2020. Cette expérimentation menée en Normandie par des biologistes et des ingénieurs de Caen vise à tester la résistance de ce matériau pour les infrastructures subaquatiques et sa capacité à accueillir la faune et la flore marines.
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À Cherbourg des blocs de béton « bioréceptif » ont été immergés dans la grande rade, en septembre 2020. Cette expérimentation menée en Normandie par des biologistes et des ingénieurs de Caen vise à tester la résistance de ce matériau pour les infrastructures subaquatiques et sa capacité à accueillir la faune et la flore marines.
En Normandie, on teste les digues du futur pour protéger la faune et la flore marines
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À Cherbourg des blocs de béton « bioréceptif » ont été immergés dans la grande rade, en septembre 2020. Cette expérimentation menée en Normandie par des biologistes et des ingénieurs de Caen vise à tester la résistance de ce matériau pour les infrastructures subaquatiques et sa capacité à accueillir la faune et la flore marines.
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À Cherbourg des blocs de béton « bioréceptif » ont été immergés dans la grande rade, en septembre 2020. Cette expérimentation menée en Normandie par des biologistes et des ingénieurs de Caen vise à tester la résistance de ce matériau pour les infrastructures subaquatiques et sa capacité à accueillir la faune et la flore marines.
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À Cherbourg des blocs de béton « bioréceptif » ont été immergés dans la grande rade, en septembre 2020. Cette expérimentation menée en Normandie par des biologistes et des ingénieurs de Caen vise à tester la résistance de ce matériau pour les infrastructures subaquatiques et sa capacité à accueillir la faune et la flore marines.
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À Cherbourg des blocs de béton « bioréceptif » ont été immergés dans la grande rade, en septembre 2020. Cette expérimentation menée en Normandie par des biologistes et des ingénieurs de Caen vise à tester la résistance de ce matériau pour les infrastructures subaquatiques et sa capacité à accueillir la faune et la flore marines.
En Normandie, on teste les digues du futur pour protéger la faune et la flore marines
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À Cherbourg des blocs de béton « bioréceptif » ont été immergés dans la grande rade, en septembre 2020. Cette expérimentation menée en Normandie par des biologistes et des ingénieurs de Caen vise à tester la résistance de ce matériau pour les infrastructures subaquatiques et sa capacité à accueillir la faune et la flore marines.
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Mohamed Boutouil, directeur de recherche de l’École supérieure d’ingénieurs des travaux de la construction (Esitc).
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Mohamed Boutouil, directeur de recherche de l’École supérieure d’ingénieurs des travaux de la construction (Esitc).
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Pascal Claquin, biologiste et directeur du centre de recherche en environnement côtier (Crec)
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Philippe Hubert, responsable de l’aménagement des Ports de Normandie
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Mickaël Auzas, de Vinci Construction Maritime et Fluvial en Manche et mer du Nord
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Amal Bourguiba, chercheuse enseignante à l’Esitc (École supérieure d’ingénieurs des travaux de la construction)
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