"Une manoeuvre réussie est une catastrophe évitée de justesse" dit-on.
Une formule sans doute excessive mais qui a le mérite de maintenir à l'esprit de chacun qu'il n'existe pas de routine quand il s'agit de manoeuvrer des géants de plusieurs dizaines de milliers de tonnes dans les écluses et les bassins portuaires avec une précision de l'ordre du mètre. Tout l'art du pilote, fin connaisseur des lieux et de leurs pièges, est d'appréhender rapidement le comportement et les capacités manoeuvrières d'un navire inconnu. C'est à lui en effet qu'il appartient de conseiller le "pacha" pour la bonne réalisation de ce qui reste l'une des phases les plus délicates de l'expédition maritime : l'entrée en port puis l'accostage.
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"Une manoeuvre réussie est une catastrophe évitée de justesse" dit-on.
Une formule sans doute excessive mais qui a le mérite de maintenir à l'esprit de chacun qu'il n'existe pas de routine quand il s'agit de manoeuvrer des géants de plusieurs dizaines de milliers de tonnes dans les écluses et les bassins portuaires avec une précision de l'ordre du mètre. Tout l'art du pilote, fin connaisseur des lieux et de leurs pièges, est d'appréhender rapidement le comportement et les capacités manoeuvrières d'un navire inconnu. C'est à lui en effet qu'il appartient de conseiller le "pacha" pour la bonne réalisation de ce qui reste l'une des phases les plus délicates de l'expédition maritime : l'entrée en port puis l'accostage.
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21/06/2012
Antoine SOUBIGOU
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"Une manoeuvre réussie est une catastrophe évitée de justesse" dit-on.
Une formule sans doute excessive mais qui a le mérite de maintenir à l'esprit de chacun qu'il n'existe pas de routine quand il s'agit de manoeuvrer des géants de plusieurs dizaines de milliers de tonnes dans les écluses et les bassins portuaires avec une précision de l'ordre du mètre. Tout l'art du pilote, fin connaisseur des lieux et de leurs pièges, est d'appréhender rapidement le comportement et les capacités manoeuvrières d'un navire inconnu. C'est à lui en effet qu'il appartient de conseiller le "pacha" pour la bonne réalisation de ce qui reste l'une des phases les plus délicates de l'expédition maritime : l'entrée en port puis l'accostage.
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18/10/2012
Antoine SOUBIGOU
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"Une manoeuvre réussie est une catastrophe évitée de justesse" dit-on.
Une formule sans doute excessive mais qui a le mérite de maintenir à l'esprit de chacun qu'il n'existe pas de routine quand il s'agit de manoeuvrer des géants de plusieurs dizaines de milliers de tonnes dans les écluses et les bassins portuaires avec une précision de l'ordre du mètre. Tout l'art du pilote, fin connaisseur des lieux et de leurs pièges, est d'appréhender rapidement le comportement et les capacités manoeuvrières d'un navire inconnu. C'est à lui en effet qu'il appartient de conseiller le "pacha" pour la bonne réalisation de ce qui reste l'une des phases les plus délicates de l'expédition maritime : l'entrée en port puis l'accostage.
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21/06/2012
Antoine SOUBIGOU
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"Une manoeuvre réussie est une catastrophe évitée de justesse" dit-on.
Une formule sans doute excessive mais qui a le mérite de maintenir à l'esprit de chacun qu'il n'existe pas de routine quand il s'agit de manoeuvrer des géants de plusieurs dizaines de milliers de tonnes dans les écluses et les bassins portuaires avec une précision de l'ordre du mètre. Tout l'art du pilote, fin connaisseur des lieux et de leurs pièges, est d'appréhender rapidement le comportement et les capacités manoeuvrières d'un navire inconnu. C'est à lui en effet qu'il appartient de conseiller le "pacha" pour la bonne réalisation de ce qui reste l'une des phases les plus délicates de l'expédition maritime : l'entrée en port puis l'accostage.
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21/06/2012
Antoine SOUBIGOU
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21/06/2012
Antoine SOUBIGOU
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"Une manoeuvre réussie est une catastrophe évitée de justesse" dit-on.
Une formule sans doute excessive mais qui a le mérite de maintenir à l'esprit de chacun qu'il n'existe pas de routine quand il s'agit de manoeuvrer des géants de plusieurs dizaines de milliers de tonnes dans les écluses et les bassins portuaires avec une précision de l'ordre du mètre. Tout l'art du pilote, fin connaisseur des lieux et de leurs pièges, est d'appréhender rapidement le comportement et les capacités manoeuvrières d'un navire inconnu. C'est à lui en effet qu'il appartient de conseiller le "pacha" pour la bonne réalisation de ce qui reste l'une des phases les plus délicates de l'expédition maritime : l'entrée en port puis l'accostage.
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21/06/2012
Antoine SOUBIGOU
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"Une manoeuvre réussie est une catastrophe évitée de justesse" dit-on.
Une formule sans doute excessive mais qui a le mérite de maintenir à l'esprit de chacun qu'il n'existe pas de routine quand il s'agit de manoeuvrer des géants de plusieurs dizaines de milliers de tonnes dans les écluses et les bassins portuaires avec une précision de l'ordre du mètre. Tout l'art du pilote, fin connaisseur des lieux et de leurs pièges, est d'appréhender rapidement le comportement et les capacités manoeuvrières d'un navire inconnu. C'est à lui en effet qu'il appartient de conseiller le "pacha" pour la bonne réalisation de ce qui reste l'une des phases les plus délicates de l'expédition maritime : l'entrée en port puis l'accostage.
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21/06/2012
Antoine SOUBIGOU
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"Une manoeuvre réussie est une catastrophe évitée de justesse" dit-on.
Une formule sans doute excessive mais qui a le mérite de maintenir à l'esprit de chacun qu'il n'existe pas de routine quand il s'agit de manoeuvrer des géants de plusieurs dizaines de milliers de tonnes dans les écluses et les bassins portuaires avec une précision de l'ordre du mètre. Tout l'art du pilote, fin connaisseur des lieux et de leurs pièges, est d'appréhender rapidement le comportement et les capacités manoeuvrières d'un navire inconnu. C'est à lui en effet qu'il appartient de conseiller le "pacha" pour la bonne réalisation de ce qui reste l'une des phases les plus délicates de l'expédition maritime : l'entrée en port puis l'accostage.
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21/06/2012
Antoine SOUBIGOU
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"Une manoeuvre réussie est une catastrophe évitée de justesse" dit-on.
Une formule sans doute excessive mais qui a le mérite de maintenir à l'esprit de chacun qu'il n'existe pas de routine quand il s'agit de manoeuvrer des géants de plusieurs dizaines de milliers de tonnes dans les écluses et les bassins portuaires avec une précision de l'ordre du mètre. Tout l'art du pilote, fin connaisseur des lieux et de leurs pièges, est d'appréhender rapidement le comportement et les capacités manoeuvrières d'un navire inconnu. C'est à lui en effet qu'il appartient de conseiller le "pacha" pour la bonne réalisation de ce qui reste l'une des phases les plus délicates de l'expédition maritime : l'entrée en port puis l'accostage.
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21/06/2012
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Une formule sans doute excessive mais qui a le mérite de maintenir à l'esprit de chacun qu'il n'existe pas de routine quand il s'agit de manoeuvrer des géants de plusieurs dizaines de milliers de tonnes dans les écluses et les bassins portuaires avec une précision de l'ordre du mètre. Tout l'art du pilote, fin connaisseur des lieux et de leurs pièges, est d'appréhender rapidement le comportement et les capacités manoeuvrières d'un navire inconnu. C'est à lui en effet qu'il appartient de conseiller le "pacha" pour la bonne réalisation de ce qui reste l'une des phases les plus délicates de l'expédition maritime : l'entrée en port puis l'accostage.
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21/06/2012
Antoine SOUBIGOU
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"Une manoeuvre réussie est une catastrophe évitée de justesse" dit-on.
Une formule sans doute excessive mais qui a le mérite de maintenir à l'esprit de chacun qu'il n'existe pas de routine quand il s'agit de manoeuvrer des géants de plusieurs dizaines de milliers de tonnes dans les écluses et les bassins portuaires avec une précision de l'ordre du mètre. Tout l'art du pilote, fin connaisseur des lieux et de leurs pièges, est d'appréhender rapidement le comportement et les capacités manoeuvrières d'un navire inconnu. C'est à lui en effet qu'il appartient de conseiller le "pacha" pour la bonne réalisation de ce qui reste l'une des phases les plus délicates de l'expédition maritime : l'entrée en port puis l'accostage.
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21/06/2012
Antoine SOUBIGOU
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"Une manoeuvre réussie est une catastrophe évitée de justesse" dit-on.
Une formule sans doute excessive mais qui a le mérite de maintenir à l'esprit de chacun qu'il n'existe pas de routine quand il s'agit de manoeuvrer des géants de plusieurs dizaines de milliers de tonnes dans les écluses et les bassins portuaires avec une précision de l'ordre du mètre. Tout l'art du pilote, fin connaisseur des lieux et de leurs pièges, est d'appréhender rapidement le comportement et les capacités manoeuvrières d'un navire inconnu. C'est à lui en effet qu'il appartient de conseiller le "pacha" pour la bonne réalisation de ce qui reste l'une des phases les plus délicates de l'expédition maritime : l'entrée en port puis l'accostage.
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05/09/2012
Antoine SOUBIGOU
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"Une manoeuvre réussie est une catastrophe évitée de justesse" dit-on.
Une formule sans doute excessive mais qui a le mérite de maintenir à l'esprit de chacun qu'il n'existe pas de routine quand il s'agit de manoeuvrer des géants de plusieurs dizaines de milliers de tonnes dans les écluses et les bassins portuaires avec une précision de l'ordre du mètre. Tout l'art du pilote, fin connaisseur des lieux et de leurs pièges, est d'appréhender rapidement le comportement et les capacités manoeuvrières d'un navire inconnu. C'est à lui en effet qu'il appartient de conseiller le "pacha" pour la bonne réalisation de ce qui reste l'une des phases les plus délicates de l'expédition maritime : l'entrée en port puis l'accostage.
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05/09/2012
Antoine SOUBIGOU
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"Une manoeuvre réussie est une catastrophe évitée de justesse" dit-on.
Une formule sans doute excessive mais qui a le mérite de maintenir à l'esprit de chacun qu'il n'existe pas de routine quand il s'agit de manoeuvrer des géants de plusieurs dizaines de milliers de tonnes dans les écluses et les bassins portuaires avec une précision de l'ordre du mètre. Tout l'art du pilote, fin connaisseur des lieux et de leurs pièges, est d'appréhender rapidement le comportement et les capacités manoeuvrières d'un navire inconnu. C'est à lui en effet qu'il appartient de conseiller le "pacha" pour la bonne réalisation de ce qui reste l'une des phases les plus délicates de l'expédition maritime : l'entrée en port puis l'accostage.
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04/09/2012
Antoine SOUBIGOU
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"Une manoeuvre réussie est une catastrophe évitée de justesse" dit-on.
Une formule sans doute excessive mais qui a le mérite de maintenir à l'esprit de chacun qu'il n'existe pas de routine quand il s'agit de manoeuvrer des géants de plusieurs dizaines de milliers de tonnes dans les écluses et les bassins portuaires avec une précision de l'ordre du mètre. Tout l'art du pilote, fin connaisseur des lieux et de leurs pièges, est d'appréhender rapidement le comportement et les capacités manoeuvrières d'un navire inconnu. C'est à lui en effet qu'il appartient de conseiller le "pacha" pour la bonne réalisation de ce qui reste l'une des phases les plus délicates de l'expédition maritime : l'entrée en port puis l'accostage.
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04/09/2012
Antoine SOUBIGOU
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"Une manoeuvre réussie est une catastrophe évitée de justesse" dit-on.
Une formule sans doute excessive mais qui a le mérite de maintenir à l'esprit de chacun qu'il n'existe pas de routine quand il s'agit de manoeuvrer des géants de plusieurs dizaines de milliers de tonnes dans les écluses et les bassins portuaires avec une précision de l'ordre du mètre. Tout l'art du pilote, fin connaisseur des lieux et de leurs pièges, est d'appréhender rapidement le comportement et les capacités manoeuvrières d'un navire inconnu. C'est à lui en effet qu'il appartient de conseiller le "pacha" pour la bonne réalisation de ce qui reste l'une des phases les plus délicates de l'expédition maritime : l'entrée en port puis l'accostage.
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04/09/2012
Antoine SOUBIGOU
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"Une manoeuvre réussie est une catastrophe évitée de justesse" dit-on.
Une formule sans doute excessive mais qui a le mérite de maintenir à l'esprit de chacun qu'il n'existe pas de routine quand il s'agit de manoeuvrer des géants de plusieurs dizaines de milliers de tonnes dans les écluses et les bassins portuaires avec une précision de l'ordre du mètre. Tout l'art du pilote, fin connaisseur des lieux et de leurs pièges, est d'appréhender rapidement le comportement et les capacités manoeuvrières d'un navire inconnu. C'est à lui en effet qu'il appartient de conseiller le "pacha" pour la bonne réalisation de ce qui reste l'une des phases les plus délicates de l'expédition maritime : l'entrée en port puis l'accostage.
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04/09/2012
Antoine SOUBIGOU
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"Une manoeuvre réussie est une catastrophe évitée de justesse" dit-on.
Une formule sans doute excessive mais qui a le mérite de maintenir à l'esprit de chacun qu'il n'existe pas de routine quand il s'agit de manoeuvrer des géants de plusieurs dizaines de milliers de tonnes dans les écluses et les bassins portuaires avec une précision de l'ordre du mètre. Tout l'art du pilote, fin connaisseur des lieux et de leurs pièges, est d'appréhender rapidement le comportement et les capacités manoeuvrières d'un navire inconnu. C'est à lui en effet qu'il appartient de conseiller le "pacha" pour la bonne réalisation de ce qui reste l'une des phases les plus délicates de l'expédition maritime : l'entrée en port puis l'accostage.
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04/09/2012
Antoine SOUBIGOU
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"Une manoeuvre réussie est une catastrophe évitée de justesse" dit-on.
Une formule sans doute excessive mais qui a le mérite de maintenir à l'esprit de chacun qu'il n'existe pas de routine quand il s'agit de manoeuvrer des géants de plusieurs dizaines de milliers de tonnes dans les écluses et les bassins portuaires avec une précision de l'ordre du mètre. Tout l'art du pilote, fin connaisseur des lieux et de leurs pièges, est d'appréhender rapidement le comportement et les capacités manoeuvrières d'un navire inconnu. C'est à lui en effet qu'il appartient de conseiller le "pacha" pour la bonne réalisation de ce qui reste l'une des phases les plus délicates de l'expédition maritime : l'entrée en port puis l'accostage.
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21/06/2012
Antoine SOUBIGOU
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"Une manoeuvre réussie est une catastrophe évitée de justesse" dit-on.
Une formule sans doute excessive mais qui a le mérite de maintenir à l'esprit de chacun qu'il n'existe pas de routine quand il s'agit de manoeuvrer des géants de plusieurs dizaines de milliers de tonnes dans les écluses et les bassins portuaires avec une précision de l'ordre du mètre. Tout l'art du pilote, fin connaisseur des lieux et de leurs pièges, est d'appréhender rapidement le comportement et les capacités manoeuvrières d'un navire inconnu. C'est à lui en effet qu'il appartient de conseiller le "pacha" pour la bonne réalisation de ce qui reste l'une des phases les plus délicates de l'expédition maritime : l'entrée en port puis l'accostage.
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21/06/2012
Antoine SOUBIGOU
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"Une manoeuvre réussie est une catastrophe évitée de justesse" dit-on.
Une formule sans doute excessive mais qui a le mérite de maintenir à l'esprit de chacun qu'il n'existe pas de routine quand il s'agit de manoeuvrer des géants de plusieurs dizaines de milliers de tonnes dans les écluses et les bassins portuaires avec une précision de l'ordre du mètre. Tout l'art du pilote, fin connaisseur des lieux et de leurs pièges, est d'appréhender rapidement le comportement et les capacités manoeuvrières d'un navire inconnu. C'est à lui en effet qu'il appartient de conseiller le "pacha" pour la bonne réalisation de ce qui reste l'une des phases les plus délicates de l'expédition maritime : l'entrée en port puis l'accostage.
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21/06/2012
Antoine SOUBIGOU
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"Une manoeuvre réussie est une catastrophe évitée de justesse" dit-on.
Une formule sans doute excessive mais qui a le mérite de maintenir à l'esprit de chacun qu'il n'existe pas de routine quand il s'agit de manoeuvrer des géants de plusieurs dizaines de milliers de tonnes dans les écluses et les bassins portuaires avec une précision de l'ordre du mètre. Tout l'art du pilote, fin connaisseur des lieux et de leurs pièges, est d'appréhender rapidement le comportement et les capacités manoeuvrières d'un navire inconnu. C'est à lui en effet qu'il appartient de conseiller le "pacha" pour la bonne réalisation de ce qui reste l'une des phases les plus délicates de l'expédition maritime : l'entrée en port puis l'accostage.
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05/09/2012
Antoine SOUBIGOU
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"Une manoeuvre réussie est une catastrophe évitée de justesse" dit-on.
Une formule sans doute excessive mais qui a le mérite de maintenir à l'esprit de chacun qu'il n'existe pas de routine quand il s'agit de manoeuvrer des géants de plusieurs dizaines de milliers de tonnes dans les écluses et les bassins portuaires avec une précision de l'ordre du mètre. Tout l'art du pilote, fin connaisseur des lieux et de leurs pièges, est d'appréhender rapidement le comportement et les capacités manoeuvrières d'un navire inconnu. C'est à lui en effet qu'il appartient de conseiller le "pacha" pour la bonne réalisation de ce qui reste l'une des phases les plus délicates de l'expédition maritime : l'entrée en port puis l'accostage.
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19/09/2012
Antoine SOUBIGOU
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"Une manoeuvre réussie est une catastrophe évitée de justesse" dit-on.
Une formule sans doute excessive mais qui a le mérite de maintenir à l'esprit de chacun qu'il n'existe pas de routine quand il s'agit de manoeuvrer des géants de plusieurs dizaines de milliers de tonnes dans les écluses et les bassins portuaires avec une précision de l'ordre du mètre. Tout l'art du pilote, fin connaisseur des lieux et de leurs pièges, est d'appréhender rapidement le comportement et les capacités manoeuvrières d'un navire inconnu. C'est à lui en effet qu'il appartient de conseiller le "pacha" pour la bonne réalisation de ce qui reste l'une des phases les plus délicates de l'expédition maritime : l'entrée en port puis l'accostage.
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19/09/2012
Antoine SOUBIGOU
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"Une manoeuvre réussie est une catastrophe évitée de justesse" dit-on.
Une formule sans doute excessive mais qui a le mérite de maintenir à l'esprit de chacun qu'il n'existe pas de routine quand il s'agit de manoeuvrer des géants de plusieurs dizaines de milliers de tonnes dans les écluses et les bassins portuaires avec une précision de l'ordre du mètre. Tout l'art du pilote, fin connaisseur des lieux et de leurs pièges, est d'appréhender rapidement le comportement et les capacités manoeuvrières d'un navire inconnu. C'est à lui en effet qu'il appartient de conseiller le "pacha" pour la bonne réalisation de ce qui reste l'une des phases les plus délicates de l'expédition maritime : l'entrée en port puis l'accostage.
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19/09/2012
Antoine SOUBIGOU
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"Une manoeuvre réussie est une catastrophe évitée de justesse" dit-on.
Une formule sans doute excessive mais qui a le mérite de maintenir à l'esprit de chacun qu'il n'existe pas de routine quand il s'agit de manoeuvrer des géants de plusieurs dizaines de milliers de tonnes dans les écluses et les bassins portuaires avec une précision de l'ordre du mètre. Tout l'art du pilote, fin connaisseur des lieux et de leurs pièges, est d'appréhender rapidement le comportement et les capacités manoeuvrières d'un navire inconnu. C'est à lui en effet qu'il appartient de conseiller le "pacha" pour la bonne réalisation de ce qui reste l'une des phases les plus délicates de l'expédition maritime : l'entrée en port puis l'accostage.
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19/09/2012
Antoine SOUBIGOU
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"Une manoeuvre réussie est une catastrophe évitée de justesse" dit-on.
Une formule sans doute excessive mais qui a le mérite de maintenir à l'esprit de chacun qu'il n'existe pas de routine quand il s'agit de manoeuvrer des géants de plusieurs dizaines de milliers de tonnes dans les écluses et les bassins portuaires avec une précision de l'ordre du mètre. Tout l'art du pilote, fin connaisseur des lieux et de leurs pièges, est d'appréhender rapidement le comportement et les capacités manoeuvrières d'un navire inconnu. C'est à lui en effet qu'il appartient de conseiller le "pacha" pour la bonne réalisation de ce qui reste l'une des phases les plus délicates de l'expédition maritime : l'entrée en port puis l'accostage.
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19/09/2012
Antoine SOUBIGOU
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"Une manoeuvre réussie est une catastrophe évitée de justesse" dit-on.
Une formule sans doute excessive mais qui a le mérite de maintenir à l'esprit de chacun qu'il n'existe pas de routine quand il s'agit de manoeuvrer des géants de plusieurs dizaines de milliers de tonnes dans les écluses et les bassins portuaires avec une précision de l'ordre du mètre. Tout l'art du pilote, fin connaisseur des lieux et de leurs pièges, est d'appréhender rapidement le comportement et les capacités manoeuvrières d'un navire inconnu. C'est à lui en effet qu'il appartient de conseiller le "pacha" pour la bonne réalisation de ce qui reste l'une des phases les plus délicates de l'expédition maritime : l'entrée en port puis l'accostage.
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19/09/2012
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"Une manoeuvre réussie est une catastrophe évitée de justesse" dit-on.
Une formule sans doute excessive mais qui a le mérite de maintenir à l'esprit de chacun qu'il n'existe pas de routine quand il s'agit de manoeuvrer des géants de plusieurs dizaines de milliers de tonnes dans les écluses et les bassins portuaires avec une précision de l'ordre du mètre. Tout l'art du pilote, fin connaisseur des lieux et de leurs pièges, est d'appréhender rapidement le comportement et les capacités manoeuvrières d'un navire inconnu. C'est à lui en effet qu'il appartient de conseiller le "pacha" pour la bonne réalisation de ce qui reste l'une des phases les plus délicates de l'expédition maritime : l'entrée en port puis l'accostage.